De manière générale, il est primordial de signaler au praticien toute situation sanitaire singulière dès la prise de rendez-vous.
Voire, dans certains cas qui posent question, solliciter l’avis d’un médecin en amont pour évaluer la pertinence d’un massage.
Voici une liste non exhaustive de conditions médicales ou autres, qui font que le massage est proscrit :
– Les maladies virales et infectieuses avec différents symptômes;
– Les infestations parasitaires;
– Les cancers, la chimiothérapie ainsi que la radiothérapie,
– Les états fébriles (alcool, drogue);
– Les maladies vasculaires graves;
– Les situations inflammatoires importantes
– Grossesse (possible mais auprès d’un professionnel formé, qui prendra les précautions nécessaires)
On évitera aussi dans les cas suivants :
– lésions cutanées bénignes de type inflammatoires, de type viralou de type fongique;
– Les brûlures et blessures en guérison;
– infections de la peau (furoncles);
– fracture;
– zone de chirurgie récente;
– Une excroissance;
– Fièvre, infection bactérienne ou virale (rhume, grippe et autres…).
– Plaies ou cicatrices récentes, infection cutanée (contagieuse ou pas), fibrome ou tumeur, maux de dos aigus, maladies inflammatoires aiguës, blessures ligamentaires et musculaires.
– Diabète…
Attention : En cas de troubles cardiaques : Les massages trop toniques ainsi que l’usage des huiles essentielles toniques sont fortement déconseillés.
Arthrite, ostéoporose : pas de massage profond.
Veillez aussi à signaler au praticien une éventuelle allergie à une ou plusieurs huiles essentielles, un traumatisme survenu rapidement, un trouble circulatoire connu (phlébite, thrombose, varices). Enfin, même si c’est du bon sens, on évitera de se faire masser immédiatement après un repas, ou si l’hygiène corporelle laisse à désirer.
